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NOUVEAU

-historique de Oued keberit

- oued keberit doit son nom à un gisement de soufre aujourd'hui épuisé( soufre en arabe kebrite), ainsi son historique est lié à l'éxploitation minière est à celui du passage de chemin de la voie ferreé liant les mines d'elkouif et djebel-onk et l'Ouenza à Annaba.c'est ainsiqu'aprés le commencement de l'exploitation de phosphate du kouif en 1893 ,et la construction d' une station de traitement et de stockage de phosphate ,qu'a commencé la construction de ce qui fut l'embryon de l'actuelle agglomération(au milieu des années vingts) . la gare fut achevée et mise en service en 1930 et puis les logements d'accompagnement des employés du chemin de fer (l'actuel quartier central ) et puis les logements de la caisse d'assurance et de retraite . à partir de ce moment là les contours d'une cité ouvrière prennent forme et la cité fut élevée au rang d'une commune appelée Dagbouche et puis Oued keberit , elle contrôlait une superficie de 190km2 , dont l'essentiel de la population aggloméré était des ouvriers .

Elle fut gardé au rang d'une commune jusqu'en 1964 date laquelle elle est annexée administrativement à la commune de Montesquieu(Mdaourouche) , Wilaya de (bone) ANNABA , et ce jusqu'au découpage de 1984pendant cette période la commune connaîtra de grand bouleversement aussi bien sur le plan démographiques que spatial . sur le plan démographiques une grande hémorragies vient frapper la commune au point au le flux migratoire corrigera d'une manière radicale la croissance naturelle(entre 1967 et 1977).

Sur le plan spatial l'avènement de la révolution agraire aura un grand impact sur le ré-aménagement de 'espace rural . la zone de parcours et pâturage se rétrécissais au fur et au mésure que la zone céréalière prenait de l'importance .ce qui affectera sérieusement l'activité de l'élevage et le phénomène de la transhumance . L'espace rural était exclusivement aménagé en zones de pâturage et de parcours .

la construction de V.S.A oued keberit-damouskeberit-damous; sera une nouvelle expérience qu'aura vécu la commune sur le plan d'urbanisation du monde rurale.

 Arrivée de Robert Lacoste, ministre de l’Algérie, à Oued Keberit, où il est reçu par le colonel Bonnot, commandant le 1er régiment de spahis algériens (1er RSA)

Robert Lacoste, ministre de l’Algérie, passe en revue les éléments du 1er régiment de spahis algériens (1er RSA) lors de sa visite à Oued Keberit dans l’est constantinois.

                               source :   https://imagesdefense.gouv.fr/

station d’énergie solaire photovoltaique de 15 MW à Oued Keberit

La réalisation de cette station, première du genre dans la wilaya de Souk-Ahras, a été confiée à une entreprise chinoise spécialisée, a rappelé le responsable.

historique du chemins de fer

-la ligne Souk-Ahras-Tebessa, longue de 128 km, fut ouverte en 1888. Elle avait été construite dans un but strictement militaire, et personne ne se doutait à ce moment- là que, par le tonnage transporté, elle allait devenir la ligne la plus importante d'Algérie. Effectivement, dès 1893, les mines de phosphates du Kouif, au nord-est de Tebessa, commencent à être exploitées. La société anglaise concessionnaire de ces mines, qui sera plus tard francisée sous le nom de Compagnie des Phosphates de Constantine, construit une ligne à voie de 1 mètre allant du Kouif à Tebessa via Rhilane. Le gisement, très important, est exploité également de l'autre côté de la montagne et des embranchements miniers à voie étroite (voie de 60 ?) aboutissent sur la ligne du Bône-Guelma au nord de Tebessa.

Dès le début du siècle, la ligne Souk-Ahras-Tebessa est engorgée, et ce d'autant plus que l'on découvre des gisements de fer très importants dans l'Ouenza et à Bou-Khadra. Le Bône - Guelma propose plusieurs solutions de grand central minier à voie norma- le sur des trajets complètement différents de l'ancienne ligne et ce dès le départ de Bône. Pour des raisons diverses, tous ces projets sont refusés à Paris. Le Bône - Guelma, désabusé, se tourne vers son réseau tunisien en délaissant son réseau algérien. Ce dernier est finalement nationalisé en 1915 et repris par les CFAE.

La solution retenue alors est très simple, il s'agit de mette à voie normale la ligne Souk-Ahras - Tebessa, tout en modifiant son tracé là où c'est indispensable. Ce magnifique projet sera très long à mettre en place. En première étape, en 1922, la ligne est mise à voie normale simplement de Souk-Ahras à Oued- Keberit. Très sérieusement rectifiée, elle est raccourcie de quelques 4 km. Parallèlement, les CFAE constatent que le parc vapeur dont ils ont hérité du Bône -Guelma est devenu complètement obsolète et ils décident de le renouveler presque entièrement. C'est ainsi que pour la ligne minière à voie normale Bône - Oued-Keberit, ils reçoivent, en 1920 et 1921 , 30 locomotives Décapod (150), puis en 1922, pour la ligne ~L (241 ), et ces dernières sont les premières françaises de ce type, avant celles de l'Est et du PLM métropolitains. Notons que, très raisonnablement, ils ont renoncé au compoundage jugé trop complexe pour eux, et ils se contentent de la surchauffe. Ultérieurement, en 1928, ils reçoivent 30 Décapod supplémentaires, toujours à simple expansion et à surchauffeur, mais cette fois-ci à 3 cylindres égaux, en imitation de ce qui se fait en métropole sur le réseau de l'Est. Le concessionnaire des mines de fer de l'Ouenza construit en 1921 une ligne à voie normale de 21 km de la mine à Oued-Keberit. Ultérieurement en 1929, un nouveau raccordement de 18 km s'embranche sur le précédent à Aïn-Chedia et dessert les mines de Bou-Khadra. Ces deux lignes sont exploitées elles aussi à l'aide de locomotives modernes du type 151T, analogues à celles que l'on trouve sur l'Est et sur le Nord métropolitains. Par ailleurs, il semble que ces deux embranchements aient été repris par les CFAE en 1930. Mais la situation évolue également au sud de la ligne. La ligne de l'Est Algérien, que nous étudierons au paragraphe suivant, est continuée par les CFAE et atteint Tebessa en 1926. La ligne minière Tebessa - Rhilane -Le Kouif est reprise par les CFAE en 1927. Enfin en 1931, les CFAE ouvrent une ligne de 9 km de Rhilane à la frontière, à la rencontre de la ligne venant de Tunis des Chemins de Fer Tunisiens, ligne dont le dernier tronçon Kalaa-Djerda - frontière est ouvert le même jour. Ainsi, une ligne à voie de 1 rn allait de Tunis à Ouled-Rhamoun, aux portes de Constantine. Dans sa partie centrale, cette ligne algéro- tunisienne était essentiellement à vocation militaire mais, comme nous le verrons, son utilisation, bien que militaire, ne fut pas du tout ce qui avait été prévu . Restons au début des années 30. Le trafic de la ligne maintenant à voie normale Bône -Oued-Keberit et de ses deux embranchements est devenu considérable. En particulier au point de vue tonnage transporté, cette ligne est de loin la plus importante de l'Algérie. Les CFAE ont alors beaucoup de mal pour écouler ce trafic à peu près normalement. Divers projets sont à nouveau élaborés dont un central minier mais cette fois- ci en direction de la Tunisie, et un doublement de la ligne dans sa partie la plus montagneuse et la plus fréquentée, Tous sont rejetés et remplacés par celui de l'électrification. Cette dernière sera effectuée en 1932 et 1933, de Bône à Oued- Keberit, y compris les deux embranchements de l'Ouenza, A l'instar de ce qu'a entrepris le Maroc, c'est le courant continu 3000 volts qui est choisi. Rappelons à ce propos que les instructions ministérielles de 1920 qui avaient retenu le courant continu 1500 volts pour l'électrification des chemins de fer français, avaient prévu que, par dérogation et à titre exceptionnel, le 1500 volts pouvait être remplacé par le 3000 volts, Très curieusement" seuls le 

Maroc puis l'Ouenza profitèrent de cette latitude. Nous reviendrons sur la période de la dernière guerre au paragraphe suivant. Passons donc aux lendemains immédiats de celle-ci. Le travail de mise à voie normale est repris activement et, dès la fin de 1946, celle-ci entre en service d'Oued-Keberit au Kouif. Toutefois, de Tebessa au Kouif, la ligne est à trois files de rail pour maintenir la liaison par voie métrique d'Ouled-Rhamoun à Tunis. Ensuite, l'électrification est reprise et elle entre en service en 1951 d'Oued-Keberit au Kouif. On en profite également pour électrifier la courte section au profil difficile Souk-Ahras -Tarja de la ligne de Tunisie via Ghardimaou, Tarja en étant la première gare après Souk- Ahras. Plus au nord, à la même époque, la ligne de l'Ouenza est mise à double voie au sud de Souk- Ahras, exactement des Tuileries à Montesquieu, donc sur un vingtaine de kilomètres d'une rampe très raide (20 pour mille). Parallèlement, la ligne algéro-tunisienne Rhilane - Kalaa-Djerda est fermée. Toutefois, le troisième rail pour la voie métrique restera en place Jusqu'en , 1959 sur la section Tebessa -Rhilane -Le Kouif. Parmi les premiers travaux réalisés par le nouvel Etat algérien figure la reprise d'un très vieux projet qui esj mis en exécutiôn et voit le jour en 1966. Il s'agit du prolongement de la ligne à voie normale de l'Ouenza de Tebessa à Djebel-Onk sur environ 100 km. Compte tenu de l'importance que le pétrole a pris alors en Algérie, cette ligne n'est pas électrifiée. Rappelons que Djebel-Onk est le centre d'un très vaste gisement de phosphates découvert en même temps que celui du Kouif mais resté jusqu'alors inexploité par le manque d'un moyen de transport approprié. En conclusion de ce paragraphe, el pour rester dans le cadre fixé pour ce chapitre, récapitulons les lignes à voie de 1 mètre que nous avons rencontrées .

source:http://guelma.piednoir.net/chroniques/debutconstrucfamars07.html

SITUATION   GEOGRAPHIQUE

située au sud de la willaya de soukahras , faisant zone limitrophe avec la wilaya de tebessa, la commune de oued keberit est limitée au nord par la commune de M'daourouche , et à l'est et au nord est par la commune de Dréa, à l'ouest par la commune de Oum ladhaeime e,et au sud-est et au sud respectivement par la commune de Elaouinete(claire fontaine ) et Ouenza.

totalisant une superficie de 268 km2, elle s'étale du nord au sud sur une distance de prés de 20 km, et de l'est à l'ouest sur une distance avoisinant 22,5 km entre les deux bornes les plus éloignées.

sur le plan géographique , la commune de Oued keberit se situe à l'éxtremité est de la région des hautes plaines caractérisée par un payasage stèppique aride , cette région est constituée notement de hauts glacis à pente moyenne de 5 % et un relièf largement ondulé .

RELIEF (topographie):

d'une manière générale , le relièf du territoire de la commune de Oued keberit est caractérisé par une topographie assez animée qui vient briser la monotonie de la régtion des hjautes plaines dont elle constitue l'extrémité est.

Aussi aussi la partie nord est constitué de ravinements denses qui viennent déchirer les petites en formes de berceaux , ponctués elles aussi par quelques ravinnements isolés . la partie centrale est caractérisée par ravinements trés intenses (bad lands)que constituent les monts dit kef MKHIRIGA et BOUDJABER , lesquels avec les affluents de oued mellague et oued keberit,creent des versants instables . La partie est et sud -est est caractérisée par des versants instables formés de plaines alluviales avec un relief de roches moyennement dures.

notons aussi qu'une serie d'affluents de Oued mellègue et oued keberit viennet animer la topographie de la région en allant du nord vers le sud sur toute la partie nord du terriroire de la commune , et de l'ouest vers l'est sur la partie nord du territoire de la commune et l'ouest vers l'est sur la partie sud ouest de la commune .c'est ainsi que l'on distingue d'après la cartegéographique que l'altitude moyenne de la commune est un peu plus élevée que 700 m .

-la montagne de l'horloge(m'khiriga):

-cette montagne constitue l'éléments naturels les plus marquants de  la région

(991m) ,elle est rendue célèbre par la grotte   qui lui confiera le sobriquet de ''montagne de de l'horloge'', il s'agit d'un trou percé au sommet de cette montagne.l'existance du Basalte dans la montagne nous fait penser qu'elle est une d'origine volcanique.des grottes creusées dans la montagne expliquent qu'il y'avait 'exploitation minière , à la fin du 19 ème siècle , et début de 20 ème , des anciens citoyens  tel que Moussa Ounassi racontent qu'il avaient vu pendant leur jeunesse , des wagons abondonnés dans les grottes.

FORMATION GEOLOGIQUE :

Les études géologiques faites surr la région font ressortir 03 ères de formations.

1ere ère:  le quaternaire :

durant ( lequel des épôts de limon et cailloutis se sont formés de part et d'autres des affluents , et ou l'on note aussi la présence d'alluvions récent à dominantes sables limoneuse.

2ème ère:le tertiaires :

Durant lequel des dalles de grés peu épaisses se sont formées , trés altérables par le fait èrosif , elle se trouvent en saillis dans les marnes argileuses . Nous remarquons aussi une intercalation de petites bancs de calcaires grésseux  avec les marnes à la limite est de la commune sur l'axe nord sud, en allant de oued keberit à boussessou.

3 eme ère: le secondaire:

Elle a permis la formation de marnes argileuses et marne calcaires apparentes au sud du chef lieu de la commune représenté par le massif montagneux de djebel M'KHRIGA situé à l'ouest du chef lieu avec une altitude de 991 m avec une orographie du nord-ouest au sud-est, on remarque aussi une chaîne de montage au nord ouest de la commune dite koudiate oum ladhaeime sghira d'une altitude de 1008 m avec une orographie sud ouest au nord est.au nord de la commune se dresse le massif montagneux de DJEBEL ESSNOUBER 1039m d'altitude avec une orographie du sud ouest au nord est.le relief descend progressivement vers les parties basses que constituent les plaines en allant vers la vallée de oued mellague pour atteindre une altitude de 500 m au sud est de la commune .Ainsi qu'une série de  calcaires-marneux et de marnes argileuses,apparente surtout dans la partie sud ouest de la commune.

Les cours d'eau:

le terriotoire la commune de Oued keberit est caractérisé par le passage d'un nombre important d'affluents de oued mellague et oued keberit . Ils prennet sources pour la quasi totalité au nord de la commune depuis les collines basses et moyennes ainsi que les plaines alluviales se deversent soit à oued keberit qui déversa à oued mellague ou directement à mellague .

on notera pour l'éssentiel les oueds suivants:

-OUED MELLEGUE :

-El Bekri, au XIème siècle, dans sa « Description de l’Afrique septentrionale » évoque l’Oued Mellègue comme une grande rivière « auprès de laquelle sont des ruines antiques.

- Oued Mellègue prend sa source au Nord de l’Atlas saharien, non loin de Khenchela, et se dirige du Sud-Ouest an Nord-Est, et son bassin versant a une superficie de 10 200 km². La pluviométrie moyenne annuelle est de 400 mm.et l'apport annuel moyen est de 150 millions de m³.

-Oued Mellègue ,se croise avec  le fleuve Oued keberit , dans le territoire de la commune de Oued Keberit au point dit( magrane elouidene) ,  dans la forèt de Mellègue , et il traverse le territoire la commune de Ouenza , et puis le territoire tunisien.

OUED KEBERIT:

-Né de la rencontre de oued m'rah el bel et oued damous;il constitue le plus grand oued parcourant la commune,puisque la totalitédes des oueds cités ci dessus y viennet deverser ,à l'exeption de oued Ramroum,il passe par le chef lieu de la commune qui lui donne son nom ,il constitue avec le mont KEF MKHIRIGA les deux éléments naturels les plus marquants de la commune de Oued keberit,il s'étale sur une longueur de 8.5 km environ.

-

OUED RAMROUME :

-il prend naissance depuis djbel ramroum qui lui donne son nom entre gabel birsedra et henchir laàla,pour aller rejoindre oued mellague à la limite des communes de Taoura et Elaouinette , avec la commune de oued keberit sur une longueur de 11 km environ.

-OUED AIN MELLAH:

-C'est un oued qui draine des eaux d'une teneur en sel qui la rend inconsommable et inutilisable du fait de la nature des terres qu'il parciurs.Il prend source au lieu dit Argoub elagouba et se dirige au sud pour aller rejoindre oued keberit , sur une longueur de 4 km environ.

-OUED SISSALA:

-Il prend source au sud de la mechta gabel birsedra pour aller rejoindre oued keberit au nord ouest du chef lieu de la commune sur une longueurune longueur de 6,5 km environ.

-OUED DAMOUS :

I-Il prend source au lieu dit chat smida pour aller rejoindre oued keberit au nord ouest du chef lieu de la commune parcourant une langueur de 8,5 km.

-OUED GUEDRANE:

il prend source dans la commune de M'daourouche au lieu dit Ras el hemri pour aller sur ne longueur de 9 km environ deverser à oued keberit.

-OUED M'RAH  EL  BEL:

il prend source dans la commune de Oum ladhaeim pour aller deverser à oued keberit sur une longueur de 14 km sur l'axe est ouest dans la partie sud du territoire de la commune.

-OUED HAMADJA:

-Il prend source dans le territoire de la commune de M'daourouche au sud du lieu dit henchir ammar ben ali , pour rejoindre oued M'rah el bel au lieu dit koudiet ahmed ben si saleh totalisant une longueur de 10 km environ.

hydrologie :

- La region de oued keberit est caratérisé par un nombre important d'afluents qui la parcourent , et qui deversent pour l'essentiel à oued keberit lequel par la suite jette à oued mellague . Ce qui fait de la région un bassin versant.

ponctué par un nombre important de chaabets qui drainent beaucoup d'eau en hiver , la région voit certaines parties en plaine basse innondées . ce qui lui permet d'enmagasiner des quantités d'eau non négligeables qui constituent des sources hydriques.

une série de puits a été forés sur l'axe chef lieu de la commune , gabel ain elbeida , a donné des résultats satisfaisants, puisque on trouve de l'eau en abondance à partir de 15 m , toutefois celle ci reste inconsommable du fait de sa teneur en soufre.

En notera qu'un forage a été réalisé au chef lieu de la commune d'un débit de 207 L/s et d'une production journalière moyenne de 700 m3 sont destinés à la consomation domèstique .

Une autre source d'un débit moyen de 84 L/s situé au lieu dit ain elcheb alilente la population éparse en eau potable.

-Notons enfin qu'un travail de prospection , au milieu rural reste à faire pour la mobilisation d'éventuelle resource hydrique indispensable à la stabilité de la population qui s'approvisionne en citèrnes à partir de M'daourouche et Taoura.

végétation:

-Selon la variation de relièf de la vallée en passant par les hautes plaines jusqu'à arriver au djebel , la couverture végétale de la région prend les variations suivantes :

- grande culture au nord et au sud-est:

-Parcours steppiques au sud ouest constitué d'armoise.

-Forets denses au nord-ouest de la commune.

Nous remarquons que la zone d'Alfa qui a constitué l'essentiel des terresde parcours en allant du chef lieu vers M'daourouche en passant par boussessou et gabel ail elbaida à tendence à ceder la place au grande culutures céréalières . La superficie forestière de la commune au pieds du massif central.

-les forets: 800 hectares;la grande partie est au sud constituant la forets de mellègue.

-la foret de mellègue:

se situe au sud est, elle s'étend vers le nord est faisant zone limitrophe avec  Dréa et Taoura,et au sud ouest  faisant zone limitrophe avec Laouinète et Ouenza ,elle se constitue du pin d'alep et le genèvrier, et البطوم,elle s'ètend sur un esuperficie de 853 hectar.

-la foret de boussessou:

elle se situe dans la limite nord -est de la communefaisant une zonz limitrophe avec la commune de Mdaourouche,couvrant une superficie de 550 hectar,elle comporte aussi la foret dite drae snober riche au romarain.

-La foret de Dbidiba:

au sud de la commune, une superficie de 30 hectares,moin dense,se constitue du pin d'alep et du cèdre.